Le dernier message de Marie-France Giovannangeli : "Prendre la parole, ne pas se résigner"...
L'umagiu di u nostri Cullettivu...
Marie-France si n’hè andata sta mane à bon’ora, lascendu ci urfagni d’un’amicizia dolce è calurosa.
Elle nous laisse aujourd’hui dévastés par la douleur d’avoir perdu une amie attentionnée, dont Brassens aurait dit : « oui, mais, jamais au grand jamais, /son trou dans l’eau ne se refermait/ Cent ans après, coquin de sort,/ elle manquait encore ! »
Elle nous manque déjà, et nous voilà bien démunis face au vide que son départ a creusé.
Etonnamment pourtant, nous savons au plus profond de nous-mêmes que nous ne baisserons pas les bras, mais que nous puiserons dans la détermination avec laquelle elle a animé notre collectif, la force de poursuivre.
Elle en fut l’un des membres fondateurs, et non l’un des moindres. Aujourd’hui, ce n’est pas sa mort qui nous fait découvrir ses qualités ! C’est son absence qui nous fait mesurer ce que nous perdons : se dessine ainsi en creux, tout ce qu’elle fut pour le collectif et pour la Corse, auquel il conviendrait d’ajouter tout ce qu’elle fut pour chacun de ceux qui eurent l’opportunité de la rencontrer.
Car Marie-France était d’une grande humanité, s’intéressant à chacun, attentive à ses projets, partageant volontiers les petits bonheurs d’une rencontre, ou le rire d’une macagna..
Elle a su faire preuve au cours des trop brèves années que la vie nous a accordées avec elle, de cette humanité, mais aussi d’un courage et d’une honnêteté intellectuelle qui forçaient le respect.
Aujourd’hui, le monde est bien aride pour nous, mais nous savons que le combat doit continuer : nous le lui devons ! L’engagement qu’elle y a mis ne peut pas être stérile, et nous devons faire fleurir la lutte qu’elle a été contrainte d’abandonner.
Juste un mot, Marie-France : Merci ! Merci pour ce que tu fus pour nous, merci pour ce que tu nous as donné d’espoir dans un monde nouveau.
Le rêve continue…
Elle nous laisse aujourd’hui dévastés par la douleur d’avoir perdu une amie attentionnée, dont Brassens aurait dit : « oui, mais, jamais au grand jamais, /son trou dans l’eau ne se refermait/ Cent ans après, coquin de sort,/ elle manquait encore ! »
Elle nous manque déjà, et nous voilà bien démunis face au vide que son départ a creusé.
Etonnamment pourtant, nous savons au plus profond de nous-mêmes que nous ne baisserons pas les bras, mais que nous puiserons dans la détermination avec laquelle elle a animé notre collectif, la force de poursuivre.
Elle en fut l’un des membres fondateurs, et non l’un des moindres. Aujourd’hui, ce n’est pas sa mort qui nous fait découvrir ses qualités ! C’est son absence qui nous fait mesurer ce que nous perdons : se dessine ainsi en creux, tout ce qu’elle fut pour le collectif et pour la Corse, auquel il conviendrait d’ajouter tout ce qu’elle fut pour chacun de ceux qui eurent l’opportunité de la rencontrer.
Car Marie-France était d’une grande humanité, s’intéressant à chacun, attentive à ses projets, partageant volontiers les petits bonheurs d’une rencontre, ou le rire d’une macagna..
Elle a su faire preuve au cours des trop brèves années que la vie nous a accordées avec elle, de cette humanité, mais aussi d’un courage et d’une honnêteté intellectuelle qui forçaient le respect.
Aujourd’hui, le monde est bien aride pour nous, mais nous savons que le combat doit continuer : nous le lui devons ! L’engagement qu’elle y a mis ne peut pas être stérile, et nous devons faire fleurir la lutte qu’elle a été contrainte d’abandonner.
Juste un mot, Marie-France : Merci ! Merci pour ce que tu fus pour nous, merci pour ce que tu nous as donné d’espoir dans un monde nouveau.
Le rêve continue…
"Prendre la parole c'est ne pas se résigner..." Le message de Marie-France
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